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  • Photo du rédacteurThierry SMETS

Mes débuts en tant que masseuse tantra

Dernière mise à jour : 5 mai


Tout a débuté par cette ouverture d’esprit que j’apprenais encore à dompter car je ne la connaissais pas encore, ni elle, ni la femme qui se cachait en moi.

Dans mon privé, j’avais déjà quelques expériences de la vie. Que celles-ci soient bonnes ou mauvaises, on apprend généralement d’elles. Je ne sais pas pour vous mais, pour moi, ce furent de belles leçons, la plupart du temps. Parfois très douloureuses, parfois plus légères, mais, au fond, cela restait des leçons de vie.


Il y a énormément de préjugés autour de mon métier car l’homme se l’est approprié pour y cacher sa violence faite aux femmes : proxénétisme et autres horreurs en tous genres. Or, mon métier est loin, très loin d’être cela. Je n’aime d’ailleurs pas beaucoup l’homme pour cette raison, parce que, dès qu’il touche à quelque chose, il ne peut s'empêcher de l’écorcher ou de le détruire, comme pour ce beau métier qui se retrouve finalement sali par la bêtise humaine.

J’avais donc pris la décision de suivre un jour une formation dans ce domaine, par simple curiosité au départ. Mais lorsque, tout doucement, j'ai commencé à le pratiquer, et ce, de façon régulière, j’ai pris conscience de tout le sens de mon travail et de ce que j’apportais à tous ces hommes et toutes ces femmes qui, bien souvent, viennent seulement chercher une oreille qui les écoute. Lorsque l’on prend le temps d’écouter attentivement les gens, bien généralement, les choses prennent un sens, on comprend mieux pourquoi ils poussent, un jour, la porte de mon salon. Visiblement, l’homme a le don de s’infliger tant de douleurs plus inutiles et plus futiles les unes que les autres. J’entends continuellement les gens me dire que la vie est compliquée mais, entre vous et moi, ne serait-ce pas un peu l’homme qui se la complique tout seul ? Soyons honnêtes, combien de guerre aurions-nous pu éviter s'il n’y avait pas eu de religions, de croyances ? Mais bon, je ne suis pas ici pour vous parler de cela, mais bel et bien de mon métier si beau et difficile à la fois ...





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